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Titre exacte donné par le journal était: Après l’appel entre Trump et Poutine, les Européens sceptiques
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Loin de l’enthousiasme qui a pu transparaître à Washington, c’est avec circonspection que les ministres européens de la Défense, réunis ce mardi 20 mai à Bruxelles, ont accueilli la conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Une unanimité s’est dégagée sur un point : les paroles russes ne suffisent pas, seuls les actes comptent.
« Les déclarations sont faites du côté russe, mais il n’y a toujours aucune preuve des intentions déclarées », tranche l’Allemand Boris Pistorius, reflétant un sentiment partagé par la majorité de ses homologues européens. Pour lui, le maître du Kremlin « joue la montre » et « ne semble toujours pas réellement intéressé par la paix », comme en témoignent « les attaques massives de drones, les plus importantes depuis le début de la guerre » survenues à la veille de l’appel.
Un 17e paquet de sanctions contre le Kremlin
Lors de la réunion, les ministres ont adopté le 17e paquet de sanctions. Cette batterie de mesures cible 27 nouvelles inscriptions (21 individus et 6 entités) dans le cadre du régime de sanctions hybrides, tout en étendant son champ d’application pour frapper des actifs matériels liés aux activités souterraines russes – navires de la « flotte fantôme », aéronefs et patrimoine immobilier. On remarquera qu’une nouvelle fois, la Hongrie de Viktor Orban, opposée à la poursuite de la guerre, n’a pas fait obstacle à l’adoption des sanctions européennes.
Ce train de sanctions frappe directement le nerf de la guerre énergétique russe en inscrivant 189 navires supplémentaires de la « flotte fantôme » pétrolière, portant le total à 342 bâtiments identifiés avec les États membres et l’Agence européenne pour la sécurité maritime. C’est la plus vaste mesure jamais prise par le G7 contre ces navires désormais frappés d’interdiction d’accès aux ports et de prestation de services.
Le transport de pétrole russe particulièrement visé
Depuis le début des inscriptions, les livraisons de pétrole brut russe ont chuté de 76 %. Le paquet ajoute 31 entreprises soutenant le complexe militaro-industriel russe, dont 18 établies en Russie et 13 dans des pays tiers (Turquie, Vietnam, Émirats arabes unis, Serbie et Ouzbékistan), tout en élargissant les restrictions à l’exportation de précurseurs chimiques utilisés comme propulseurs pour les missiles russes.
Ce paquet de sanctions a trouvé un écho particulier chez les ministres des pays frontaliers de la Russie. Le ministre estonien de l’Intérieur, Hanno Pevkur, a ainsi mis en lumière l’incident récent dans le golfe de Finlande, où « pour la première fois », la marine russe a escorté ouvertement un pétrolier de la « flotte fantôme » qui transporte environ 60 % du pétrole russe. Pour lui, le fait de sanctionner davantage cette flotte « aura un impact énorme sur l’économie russe ». Cette position est partagée par Boris Pistorius, qui estime que « la mesure de sanction la plus efficace est de couper davantage les flux financiers provenant des ventes d’énergie pour la Russie ».
À LIRE AUSSI En Pologne, une présidentielle dans l’ombre de Trump et PoutineComme à l’accoutumée, les propos de la haute représentante, Kaja Kallas, en amont de la réunion des ministres, cadre clairement le tableau. « Il faut être deux pour vouloir la paix ; il suffit d’un seul pour faire la guerre, pose-t-elle. Et la Russie veut clairement la guerre, alors que l’Ukraine veut la paix. » « Poutine n’a jamais changé de position. La Russie ne veut pas mettre fin à cette guerre, renchérit Hanno Pevkur. Ils veulent toujours obtenir au moins ces quatre régions [d’Ukraine, NDLR], plus la Crimée, et ils ne s’arrêteront pas. » Une analyse que partage le Suédois Pal Jonson, évoquant « l’absence évidente d’intention sérieuse du côté russe de s’engager dans des négociations ».
La Pologne y apporte une nuance pro-américaine et un espoir d’essence catholique. Ainsi, Wladyslaw Kosiniak-Kamysz, vice-Premier ministre et ministre polonais de la Défense, a tenu à saluer les efforts de Washington. « Nous soutenons […] ce que fait le président Trump en essayant de parvenir à un accord », glisse-t-il, évoquant également « l’engagement du Saint-Père, le pape ». Et ajoutant néanmoins : « Tout cela donne l’espoir de la paix, mais bien sûr, pour y parvenir, il faut encore beaucoup d’efforts. »
Mark Rutte, la voix de Washington
Sans surprise, seul Mark Rutte, désormais secrétaire général de l’Otan, a adopté un ton sensiblement différent, plus aligné sur Washington que sur le scepticisme européen. « Je suis vraiment heureux que le président Trump prenne ce rôle de leadership », a-t-il lancé, refusant toutefois de livrer « un commentaire en direct sur chaque développement quotidien ». Pour Rutte, Trump « a fondamentalement rompu l’impasse dès le premier jour de son entrée en fonction en janvier ». L’ancien Premier ministre néerlandais adopte ainsi une position qui reflète sa nouvelle fonction à la tête de l’Alliance atlantique, où le maintien de relations harmonieuses avec Washington est pour lui primordial.
Face à l’incertitude diplomatique, les ministres européens ont martelé un message clair : quelles que soient les discussions entre Washington et Moscou, l’Europe continuera à soutenir l’Ukraine pour qu’elle puisse négocier depuis une position de force.
Des milliards d’euros pour l’Ukraine
« Nous nous concentrons sur l’apport de davantage d’équipements de défense et de soutien militaire à l’Ukraine pour nous assurer qu’elle puisse négocier à partir d’une position de force », a expliqué le Suédois Pal Jonson. La Suède a, d’ailleurs, débloqué trois milliards d’euros pour 2025, sur un total de huit milliards d’euros.
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La Belgique et le Danemark ont annoncé un package d’un milliard d’euros d’aide militaire renouvelable annuellement. L’Allemagne s’est engagée à participer « substantiellement » à l’initiative de livraison de deux millions d’obus d’artillerie, orchestrée par Kaja Kallas à la demande des Ukrainiens.
« La meilleure garantie de sécurité est une armée ukrainienne bien armée et bien entraînée, juge le Letton Andris Spruds. C’est la meilleure garantie de sécurité pour l’Ukraine et pour une paix stable en Ukraine. » Klaudia Tanner, ministre autrichienne de la Défense, a peut-être le mieux résumé le sentiment général : « Dans la quatrième année de guerre, avec cette immense souffrance, toute initiative est bonne. On verra à la fin du jour combien elle produira d’effets, mais toute initiative est importante. »
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